Qu’est-ce qui définit une nation ? Est-ce sa culture, est-ce sa population, est-ce ses dirigeants ou est-ce ses frontières ? Dans tous les cas, le sentiment d’appartenance est la clé sur laquelle repose toute fondation d’un pays. Tant qu’une personne se sent appartenir à quelque chose, à une entité, à une organisation, elle devient membre à part entière de sa patrie. Toutefois, les idéologies divergent au sein d’un système de direction. Bien que peut-être, au fond, tout le monde veut le bien, tout le monde n’a pas les mêmes définitions du mot. Ceci conduit alors à définir ce que sont les comportements individuels.
Le besoin de s’exprimer
Chaque être humain a une personnalité différente. C’est sa manière d’être et ceci fut depuis la nuit des temps. Darwin a défini une loi selon laquelle celui qui survit est celui qui est plus intelligent, plus fort et plus viril.On a toujours tendance alors à croire que ceux qui dirigent sont supérieurs et ceci souvent au sein de la direction même. L’erreur se place alors dans ce concept puisque cela amène les hauts placés d’un pays à négliger les avis d’une partie de son peuple, parfois même la totalité. À la longue, cela mène à un sentiment d’oppression intense dans le cœur des gens. Il est alors normal qu’on voit apparaître des signes de désobéissance civile. Elle n’est pas forcément adressée directement aux dirigeants. On voit des facettes de cette désobéissance au sein même de la société de plusieurs manières. Les vols à main armée, les braquages et tous les délits punis par la loi sont ainsi pratiqués. C’est le premier signe qu’une partie de la population rejette le système. L’être humain doit rester sur un pied d’égalité. Et c’est ce qui rend les gens sensibles à l’idée d’être dirigés par un des leurs.
Les actes de violence
On dit qu’on combat le feu par le feu. C’est la preuve même que l’humanité vit dans un monde de violence ou du moins, bâti sur ce concept. Quand le pouvoir au régime use de sa totale force pour que tout le monde accepte sa façon de diriger, on peut toujours s’attendre à une réaction violente de la part de quelques personnes d’une patrie. Les manifestations en sont les preuves vivantes. Mais il n’y a pas que le gouvernement qui est mis en cause. Toute forme de direction que ce soit dans une entreprise ou dans une institution scolaire peut connaître des formes de désobéissances venant de ses occupants. Quand le sentiment d’être ignoré sévit en longs termes, on voit alors apparaître les actes de violence sévères. On se retrouve alors face au boycott. Le boycott consiste à mettre des bâtons dans le grand rouage d’un système de direction. En général, c’est une agression contre des entités matérielles. Ce qui le différencie d’un délit au sens propre, c’est que la société l’accepte et c’est la principale clé du boycott. On peut alors ainsi voir quelques exemples comme des destructions de voitures appartenant à l’Etat, à un directeur ou bien même à une université…